Tous les articles par Olivier S.

International Symposium “Social Ontology meets Critical Theory: Social Transformation”, April 17-18, Paris Ouest


Poster

Our proposal is to coordinate, along four sessions and during two days, an international encounter between two research paradigms of influence in social theory: social ontology and critical theory. Our main concern here is the fact that those two fields of research tend to ignore each other, whether for reasons of differing methodologies or, sometimes, for a matter of difference in terms of political determination. By “social ontology”, one should understand a set of elaborations of mainly analytic ascent which, from a high level of generality, undertake the task of describing the emergence and nature of entities spontaneously categorized as “social”: groups, institutions, rules, norms, practices, habits, powers, artefacts, tendencies, structures, systems. By “critical theory” now, is designated a set of research programs which, notwithstanding their privileged domain of intervention (Marxism, feminism, subaltern studies, post-structuralism, ecology) share a common interest for the apparatuses of alienation structuring large parts of the social world and the ways in which to emancipate oneself from them. If one thus can say that, on the one hand, critical theories tend to mobilize a social ontology in an implicit way on the occasion of their piecemeal diagnoses on the present, one can also affirm that, on the other hand, social ontology as such could gain in accuracy by interrogating the social world through the scope of its transformability.

This is for us an opportunity to revive the motif of theory as practice, which in current parlance is sometimes translated as the step from an ontologization of the social question to a socialization of ontological (and broadly philosophical) problems. To do so, we want to explore under a common heading and among others the contemporary themes of: the social embeddedness of critique; the pertinence of identifying social mechanisms; the nature of normative schemes and their undermining; the status of performativity; the scope of the politics of recognition; the critical dimension of naturalism. From there, one can ask, how is social transformation to be conceptualized? As the actualization of immanent tendencies or as event? As suspension of belief in the validity of social rules or as organized collective action? As subversion of social norms or as historical rupture? Asking these questions is, we argue, a critical way of thinking the main (although quite neglected by contemporary social ontology) dimension of social being: its historicity. Our bet is indeed that the question of “social transformation” could pave the way between the poles of social ontology and critical theory in a more cogent manner than has been attempted before.

Date:
Thursday, April 17; Friday, April 18.

Place:
Université Paris Ouest Nanterre La Défense
Bâtiment A, salle Conférences
How to get there by train and RER
Map of campus.

Organized by:
Frédéric Monferrand (Université Paris Ouest),
Emmanuel Renault (Université Paris Ouest),
Titus Stahl (Frankfurt University),
Olivier Surel (Université Paris Ouest).

With the support of ANR-DFG Cactus, ED 139, Sophiapol.
Design by the great Žiga Testen.

 

Click here for PDF version of the program or see below.

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Program:

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Thursday, April 17
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9.30 – 9.45: Frédéric Monferrand (Université Paris Ouest) & Olivier Surel (Université Paris Ouest) – Opening comments.

Chair: R. Frega
9.45 – 10.25: Titus Stahl (Frankfurt University), “Traditional and Critical Social Ontology”.
10.20 – 11.15: Italo Testa (Università degli studi di Parma), “Statuses and Habituations. Searlian vs. Deweyan Models of Social Ontology”.

Break

11.30 – 12.20: Robin Celikates (Universiteit van Amsterdam), “Structural Obstacles to Social Transformation. Critical Theory and the Incapacitation Trap”.

Lunch

Chair: K. Genel
14.00 – 14.50: Vincent Chanson (Université Paris Ouest), “Adorno’s “Metacritique” of Social Ontology”.
14.50 – 15.40: Isabelle Aubert (Université Paul Valéry-Montpellier III), “On The Notion of a Social System”.

Break

Chair: A. Boetto
16.00 – 16.50: Félix Boggio Ewanjé-Epée (Université Paris Nord), “Tensions in Political Economy as Social Ontology Controversies”.
16.50 – 17.40: Daphné Le Roux (Université Paris Ouest), “How Can an Analysis of Ritual Contribute to Social Ontology?”.
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Friday, April 18
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Chair: S. Berlioz
09.30 – 10.20: Daniel James (Humboldt University of Berlin), “Social Kinds, Social Domination, and the Mechanics of Social Change”.
10.20 – 11.10: Olivier Surel (Université Paris Ouest), “Alternative Spinozist Models for Social Ontology”.

Break

Chair: J.-P. Deranty
11.25 – 12.15: Heikki Ikäheimo (University of New South Wales), “Hegel, Marx and Humanist Social Ontology”.
12.15 – 13.05: Frédéric Monferrand (Université Paris Ouest), “Marx’s Ontological Critique of Capitalism in the Paris Manuscripts”.

Lunch

Chair: Ch. T. Wolfe
14.30 – 15.20: Emmanuel Renault (Université Paris Ouest), “Substantial, Relational and Processual Social Ontologies”.
15.20 – 16.10: Alexis Cukier (Université Paris Ouest), “Social Ontology, Critique and Transformative Power”.

Break

Chair: T. Stahl
16.30 – 17.20: Hubert Tardy-Joubert (Université Paris Ouest), “Sartre on Collective Intentionality”.
17.20 – 18.10: Arto Laitinen (University of Tampere), “Institutions, Critique and Ontology”.

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Deuxième Journée du Sophiapol : “Pour quoi et comment faire sa thèse ?”, 7 février 2014, Paris Ouest

cuicui zoom sur

Cette deuxième Journée du Sophiapol, à l’initiative de ses doctorants, vise à exposer les différentes étapes de la recherche doctorale. Des doctorants, des docteurs et des maîtres de conférence exposeront 5 temps forts de la recherche. Chacun de ces temps sera suivi d’une discussion avec la salle. Cette journée s’adresse à la fois aux étudiants de Master qui envisagent de réaliser une thèse, aux doctorants quel que soit l’avancement de leur thèse, et aux jeunes docteurs en recherche de poste.

Organisation :
Camille Chamois, Olivier Chassaing, Jérémy Lemarié, Daphné Le Roux, Lara Mahi, Claire Vincent-Mory, Olivier Surel.

Lieu :
Université Paris Ouest Nanterre La Défense
Salle 304, Bâtiment A
Comment venir par le train et le RER
Plan du campus de Paris Ouest Nanterre La Défense

 

Programme :

Ouverture (14h30)

Présentation du laboratoire par Stéphane Dufoix et Stéphane Haber
Présentation des participants

I. Monter un projet de thèse (15h00)

Daphné Le Roux, “Monter un projet de thèse et choisir son directeur (philosophie)”.
Lucille Gallardo, “Monter un projet de thèse et choisir son directeur (sociologie)”.

II. Sources, matériaux et terrains (15h30)

Olivier Chassaing, “Lire, faire un « état des lieux » de la recherche”.
Axel Barenboïm, “Accéder aux archives et aux sources”.
Margot Verdier, “Gérer les temps du terrain”.
Lara Mahi, “Financer ses terrains et gérer les aspects pratiques”.
Jérémy Lemarié, “Faire du terrain international multi-site”.

Pause (16h15)

III. Ecrire sa thèse et valoriser sa recherche (16h30)

Simon Borel, “Écrire sa thèse en sociologie et composer son jury”.
Pierre-Laurent Boulanger, “Écrire sa thèse en philosophie”.
Alexis Cukier, “Publier”.
Adèle Momméja, “Vulgariser ses recherches et intervenir dans les médias”.

IV. Soutenir (17h10)

Myriam Joël-Lauf, “Soutenir sa thèse I”.
Florian Gaité (sous réserve), “Soutenir sa thèse II”.

V. Obtenir un poste (17h40)

Frédérique Leblanc, “Réaliser un dossier de qualification par le CNU”.
Julien Bernard, “Obtenir un poste de MCF en sociologie”.
Emilie Hache, “Obtenir un poste de MCF en philosophie”.

Cocktail de clôture (18h30)

 

Télécharger l’affiche de la journée.

Journée d’étude : “Quels usages des classiques dans les études sur la contrainte ?”, 14 novembre 2013, MSH

Dans le cadre des travaux du groupe “Traitements et Contraintes”, nous vous invitons à une journée d’étude intitulée “Questions de théories : quels usages des classiques dans les études sur la contrainte?”. Lors de cette journée, plusieurs chercheurs reviendront sur leur rapport aux œuvres de deux auteurs fréquemment mobilisés par ceux qui s’intéressent de façon ethnographique aux institutions : Michel Foucault et Pierre Bourdieu. Si les termes de “contrôle”, d'”habitus”, d'”assujettissement”, de “champ”, de “gouvernementalité” ou de “dispositif” circulent dans ces travaux, ils servent rarement de base à un travail de réflexivité par rapport aux ancrages théoriques qu’ils impliquent. Cette journée sera donc l’occasion d’écouter plusieurs chercheurs inscrits dans des démarches empiriques et entretenant des liens forts (de filiation intellectuelle, réappropriation, ou d’influence plus ou moins distanciée) avec ces deux auteurs, évoquer ces œuvres qui ont marqué leur travail de recherche. Au-delà de Foucault, Bourdieu et de leur postérité ethnographique, il s’agit d’enclencher une discussion épistémologique et méthodologique sur les usages de concepts, d’œuvres ou de théories spécifiques dans le cadre de recherches empiriques.

 

Date :
Jeudi 14 novembre 2013 (de 10h à 17h).
Pour des raisons logistiques, nous vous remercions de bien vouloir vous y inscrire auprès d’Arthur Vuattoux avant le 1er novembre 2013.

Lieu :
Bâtiment de la  Maison des Sciences de l’Homme
190 avenue France (métro Quai de la Gare), Paris 75013
Salle 640.

Organisation et contacts :
Anne-Sophie Vozari, Arthur Vuattoux, Camille Lancelevée, Corentin Durand et Joël Charbit.
La journée est ouverte à tou.te.s et débutera par un petit-déjeuner (à 9h30).

 

Programme :

Les usages de l’œuvre de Michel Foucault (de 10h à 12h30) :

Gilles Chantraine (CLERSE, CNRS), “Prison et gouvernementalité”,

Sarah Mazouz (Centre Marc Bloch, Berlin),

Olivier Razac (CIRAP, ENAP), “Foucault et la critique des rationalités pénales. Retour sur l’Archéologie du savoir”.

Les usages de l’œuvre de Pierre Bourdieu (de 14h à 16h30) :

Muriel Darmon (CESSP, CNRS), “Faire avec. Situer, objectiver, dévoiler, contrebalancer à partir d’une lecture de Bourdieu.”

Wilfried Lignier (CESSP, CNRS),

Ugo Palheta (CIREL, Université Lille 3).

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