Colloque : “Lumières européennes – Lumières chinoises : une confrontation”, 24-25 janvier 2014, Université Paris Est-Créteil – Maison Heinrich Heine, Fondation de l’Allemagne

 

Ce colloque international – qui réunira quatre spécialistes chinois de la pensée chinoise (et notamment des «  Lumières chinoises  »), des spécialistes français de la pensée chinoise (Anne Cheng et Rémi Mathieu notamment), ainsi que des spécialistes des Lumières européennes – aura un enjeu central  : confronter les Lumières européennes et les Lumières chinoises, tout en prenant en compte les regards croisés de chaque héritage culturel sur son vis-à-vis. Le «  regard éloigné  » (Lévi-Strauss) se fait ainsi double focale, faisant subir au concept de Lumières un fructueux décentrement critique.
L’initiative s’inscrit dans le prolongement du cycle «  Collège international de philosophie – Les Lumières aujourd’hui  » organisé en Chine au cours de l’année 2012 (à Pékin, Shanghaï et Wuhan), à l’initiative du Service de coopération et d’action culturelle/Institut français (Ambassade de France en Chine), en partenariat avec les Presses universitaires de Renmin (Renmin daxue chubanshe).

 

Date
Vendredi 24 janvier (14h-18h30) et samedi 25 janvier 2014 (9h30-18h)

Lieu
Vendredi 24 janvier : Salle des Thèses, Université Paris-Est Créteil, 61 avenue du Général de Gaulle, 94010 Créteil
Samedi 25 janvier : Grande salle, Maison Heinrich Heine, Fondation de l’Allemagne, 27 C bd Jourdan, 75014 Paris

Organisation
Colloque organisé sous la responsabilité de Gisèle Berkman et Pascal Sévérac
Collège International de Philosophie / Université Wuda de Wuhan (Chine)/ Université Paris-Est Créteil (LIS-EA 4395)

Programme
Vous trouverez le programme sur le site du CIPh.

 

 


OpenEdition vous propose de citer ce billet de la manière suivante :
Miryam Giargia (23 janvier 2014). Colloque : “Lumières européennes – Lumières chinoises : une confrontation”, 24-25 janvier 2014, Université Paris Est-Créteil – Maison Heinrich Heine, Fondation de l’Allemagne. Le Carnet du Sophiapol. Consulté le 13 octobre 2024 à l’adresse https://doi.org/10.58079/uh72


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